"Mais l’Arabie Saoudite a décidé maintenir la pression sur l’Algérie. Le pavillon national n’a toujours pas le droit de survoler l’espace aérien saoudien, seule la desserte de Djeddah est maintenue avec interdiction aux équipages de passer la nuit sur place. La moindre formalité conforme aux codes de l’organisation de l’aviation civile internationale prend des heures. C’est ce qui explique les difficultés rencontrées par la compagnie pour rapatrier les Algériens bloqués à Djeddah ces dernières 48 heures. Au Caire Air Algérie souffre également de lenteurs des procédures et de pressions." (thanks Robin)