"« Donnez une chance à Bashar », a insisté Joumblatt auprès de ses interlocuteurs. Joumblatt, qui s’est réconcilié avec Damas depuis deux ans, s’inquiète de « voir couler le sang au Liban », si le régime baassiste venait à tomber. Mais sa venue à Paris n’a pas modifié la position française à l’égard de Bashar al-Assad. La France semble avoir perdu tout espoir de voir le régime de fer syrien s’amender."