Tuesday, April 06, 2010
très cordial, très amical
"En entrant dans cet imposant palais présidentiel, il est vrai que j’étais un peu inquiet. Mais Bachar al-Assad a été très cordial, très amical. Nous avons discuté à bâtons rompus et il m’a dit : «Parlons, oublions le passé, l’avenir est plus important.»" (thanks Houari)