This once serious newspaper now relies on Walid Jumblat for analysis of Syria. "Après les attaques lancées par les robots spammeurs de "l'armée électronique syrienne" au printemps puis à l'été dernier, nos réseaux sociaux sont désormais la cible d'autres commentaires de lecteurs. Les nuances sont plus difficiles à cerner que lorsqu'il s'agissait de textes automatiquement postés une vingtaine de fois, à la gloire de Bachar Al-Assad." So it is not possible to disagree with them without being a stooge of Bashshar? (thanks John)